Soirée italienne au festival

Ragazze e ragazzi, ne manquez pas la soirée cinéma italien au Brussels Film Festival le vendredi 15 juin 2012. Au programme, deux films et un cocktail pour l’entracte, le tout pour 10 € seulement!

19.00 : Italy Love It or Leave It by G. Hofer & L. Ragazzi
20.30 : Cocktail
21.30 : La Kryptonite nella borsa by Ivan Cotroneo

Italy Love It or Leave It

Italy Love It Or LEave It

Italy Love It Or LEave It, Gustav Hofer, Luca Ragazzi

Au cours des dernières années, nombreux sont les trentenaires italiens qui sont partis pour Berlin, Londres ou Barcelone, dégoûtés par leur pays, ses mauvaises perspectives professionnelles, ses politiciens ripoux, sa mafia et ses scandales. Mais si tout le monde part, que reste-t-il de ce pays ? À bord d’une vieille Cinquecento, le tandem Luca Ragazzi et Gustav Hofer (Suddently Last Winter) décide de traverser toute la Botte – des petits villages du Nord à ceux du Sud en passant par les Pouilles -, pour rencontrer les Italiens qui continuent d’y croire. De se battre. De résister à la crise actuelle. Drôle et pertinent à la fois, leur doc dénonce le passé, pour se réconcilier avec l’avenir. Primé au festival de Milan.


La Kryptonite Nella Borsa

Kryptonite!

La Kryptonite Nella Borsa, Ivan Cotroneo

Naples, 1973.  Avec ses grosses lunettes, sa chevelure improbable et son air d’ahuri, Peppino est le souffre douleur de ses camarades de classe.  Alors que son père couche avec une voisine, que sa mère (Valeria Golino) glisse dans la dépression, il se tourne vers son cousin Gennaro qui se prend pour Superman.  Ils sont tous fous ces Napolitains!  Ce qui n’empêchera pas Peppino de découvrir la vie, la vraie. L’Italien Ivan Cotroneo plonge dans la folie des années ’70, à travers une comédie délibérément fantaisiste. Comme dirait l’autre : c’était mieux avant. On savait affronter la vie dans la joie et l’allégresse – vive le LSD, les paillettes et les pattes d’eph’ – , on croyait à l’engagement, au changement, à la révolution sexuelle. Voyage dans la mémoire d’une époque en pleine mutation, que l’on a surnommé gaiement  la ‘parenthèse enchantée’…

Laisser un commentaire